J’apprends une tristesse infinie la mort de Grégoire.
Nous nous étions rencontrés à Paris pour un concert avec David Krakauer qui avait invité quelques musiciens de la nouvelle scène klezmer.
Grégoire était là, pas particulièrement expert de cette klezmer et pourtant plus libre que nous tous réunis.
Je le revois proposer sans craintes des idées toujours plus inventives à un David Krakauer aussi médusé qu’admiratif.
Grégoire a été une claque, au même titre que Médéric, il était de ces gens dont le foissenement des idées ne semblait laisser aucune place à la peur.
Une leçon de liberté, de talent et d’audace qui dix ans n’a pas perdu de sa force.
Bonjour,
J’apprends une tristesse infinie la mort de Grégoire.
Nous nous étions rencontrés à Paris pour un concert avec David Krakauer qui avait invité quelques musiciens de la nouvelle scène klezmer.
Grégoire était là, pas particulièrement expert de cette klezmer et pourtant plus libre que nous tous réunis.
Je le revois proposer sans craintes des idées toujours plus inventives à un David Krakauer aussi médusé qu’admiratif.
Grégoire a été une claque, au même titre que Médéric, il était de ces gens dont le foissenement des idées ne semblait laisser aucune place à la peur.
Une leçon de liberté, de talent et d’audace qui dix ans n’a pas perdu de sa force.